mercredi 24 décembre 2008
mardi 23 décembre 2008
jeudi 18 décembre 2008
jeudi 11 décembre 2008
JOURNAL D'UN PODOPHILE
Il est 22h… 15 je crois… enfin peu importe. C’est bizarre ce besoin qu’on a des fois d’écrire, de mettre à plat ce qui nous passe par la tête. Gratte toujours gratter… Avec en plus ce Bic à la con qui veut jamais fonctionner……
Non je me marre parce que pour lui montrer de quel bois je me chauffe au putain de Bic je viens de me le fouttre dans le cul et ça pue veugra !!!
Pousse mousse tu pousses et ça mousses nanananananananan les mains.
Ahh, avec une mine de plomb c’est tout de suite mieux. Mon grand père utilisait toujours ces machins-là… Mais bon laissons le dans sa tombe, lui, ce vieux con.
Nous sommes dimanche soir et je lutte pour ne pas me souvenir de mon week-end, de ce week envahissant à vadrouiller partout en quête du seul truc qui arrive maintenant à me faire bander.
Des godasses, des godasses, et des panards, des panards, encore des panards. J’en arrive des fois à me demander si c’est pas plutôt le paysage qui entoure la grolle qui m’excite le plus. Une grosse rangeo dans une flaque d’huile avec un skin head au bout quelle moment extatique de ma journée !
Quoi qu’en y réfléchissant bien, l’aut’ fois, dans le métro j’ai suivi un petit cul plutôt propre sur lui, le genre étudiant en science plutôt barraqué avec des effluves angéliques. Putain je bande… Mais venons en au sérieux, c’te paire de couille sur patte, avec une tête à en sucer des bien grosses, portait des Repetto ; ou plutôt c’était les répetto qui portait son petit cul tout blanc.
Au fond les pieds de ma grosse aussi y sont pas mal. Des fois on se prend en photo quand elle me les met bien profond dans le cul. L’aut fois j’ai eu l’trou duc fissuré sur deux centimètres et j’ai rien trouvé de mieux, au cœur de la jouissance que de crier « GERMAINE »… Quel con !! Germaine !!!!
Du coup Aline a même cru un moment que je me tapais une quelconque Germaine et c’te salope, avant de retirer son pied de mon fion béant, elle a improvisé un interrogatoire. Heureusement pour moi, comme germaine… ben… c’est ma mère, elle a vite compris. Et elle m’a foutu la paix. Faut reconnaître que pour ça elle est cool ; des fois je me demande si c’est pas sa psychanalyste de mère qui lui a enseigné qu’on est tous des gros tordus. Comme mon schybre d’ailleurs.
Bon, assez causé, je vais me taper une queue sur les repettos du petit cul estudiantin. Student !! comme y dirait, Labruce.
18.9
J’ai de la lessive à faire je m’y colle
Monde de merde
Pizza
Oignon
pattes
Lardon
PQ
Clope
Et pain
Appeler Ghislain
22.9
Un bail que j’ai pas écrit. C’est drôle parce que je l’ai croisé le grand minet de l’aut fois, il était assez déchaîné, et l’air beaucoup moins angélique. J’étais avec Aline qui grossi maintenant à vue d’œil et lui, il était accompagné de deux pauv’ gars, l’un plutôt skeater bronzé, qu’assume pas du tout sa pédérastie et l’autre genre « le bon hétéro de base que tu feras pas vaciller d’un poil de cul ou de pied si on préfère ». Je l’endormirai bien au Rohipnol pour lui fourrer mon gros pannard puant dans son derrière récalcitrant de petit bouillaveur de chattes.
Aline a senti que je commençai à avoir la gaule − c’est l’effet repetto, alors pour se marrer un coup, elle les a alpagués. Pas méchant les gonz mais juste un peu con. Ca volait pas haut : « et la tease par ci, et l’alcool par là et gnagnagna le vin rouge, et prout prout la Vodka et Zob le Picon Bière − des p’tit rigolo quoi, et… des bien relous. Mais v’la t’y pas que le blondinet qu’on aurait cru qu’y sortait d’une pochette de NoFX, commence doucement à assumer son penchant pour le gros − et décidément très gros − cul d’Aline. Moi comme j’m’emmerde, j’y balance à ce fils de pute : « t’inquiète elle produit tellement de bout de gras par jour qu’y aura bien moyen de partager ; Par contre mon gars, y faudra que tu sois coopérant avec moi ». Bien sur l’aut con, y fait style, « je comprends pas ! », « non je vois pas ! » ; pis y passe au sourire niais quand ça devient manifeste qu’il a une gaulle de cheval, le cochon.
Ensuite pour corser l’affaire, voilà ma régulière qui commence à nous la jouer pudique : « quoi c’est pas vrai, gnagna gna, j’ai seulement pris trois kilo en deux jours, gnagnagna », « eh ferme la pouffiasse que j’lui rétorque tu risquerais de perdre du poids, à t’emballer comme ça ».
Elle marche au quart de tour, elle me retourne me baisse le froc et m’enfonce son talon dans le cul. Manque de bol le métro freine, elle est projetée dans les bras de l’étudiant − sous les yeux méprisant et faussement amusés du « punk-nike-tes-maures » −, le talon casse et je me retrouve comme un vrai trou du cul avec une douloureuse aiguille dans ma botte de foin.
Je finis par saigner tellement du cul que tout notre petit monde m’accompagne en grande pompe aux urgences. Putain le boxon qu’ils ont foutu ! Ces connards de médecins voulaient pas que mes nouveaux copains puissent venir assister à l’extraction de l’objet coincé dans ma boîte à caca ; coincé, d’ailleurs, depuis trop longtemps déjà. On a eu beau argumenter, leur expliquer que pour nous tous, ce serait comme une mise au monde, une renaissance, une sorte de nirvana…, ces guignols, y z ont rien voulu savoir.
Enfin ça n’a duré qu’un temps parce que quand j’ai fait mine de me barrer avec une fontaine de sang au derrière, y z ont préféré ne pas porter ma mort sur leur conscience et tout notre petit monde a pu m’entendre gueuler en live et sur la table d’opération : Oh oui Maman, always deeper always harder… Bon je sais que mon surmoi me souffle que c’est ni très élégant ni très original, mais en fait c’est une chanson que j’ai écrite depuis la dernière engueulade avec ma trainée. Après… une lampé d’Vodka et j’suis tombé sans connaissance comme une vieille bouse.
…
La gardienne vient de passer. Quelle pouf celle-là… Elle me coupe la chique. Ma bite dans son trou duc. Euh euh euh euh euh euh.
En tout cas mon porno, « spécial pied » que j’attends depuis si longtemps, il est là et je m’en vais m’en taper une belle
.
Swen